Secret longtemps gardé puis révélation
soudaine des origines tant littérales que littéraires du combat de
livres qui serait en fait l'adaptation, et une tentative de
transposition dans l'ordre du réel, du récit de Kafka, La colonie pénitentiaire.
L'inventeur du Bookfighting, nommons-le
K, est violemment pris à partie par une foule vindicative
qui souhaite en finir au plus vite avec lui.
La sentence est la suivante : il sera
exécuté par là où il a péché, par l'inscription de la peine
capitale dans sa chair, à coups de livres !
K réclame une dernière faveur avant
d'être lynché : le choix du titre susmentionné.
Qu'il soit exaucé !
K meurt sous les coups redoublés, dans
le sang et la douleur, mais sans mea culpa.